[ je rejouterais mon avatar plus tard, désolé j'ai pas le temps là !!! en gros ce soir il y est !!]
Nom : Argus
Prénom : Rusard
Age : Il a arrêté de compter
Argus Rusard détestait par dessus tout les sorciers. Et les adoraient. Cette sensation étrangère le mettait toujours de mauvaise humeur. Et, il avait aboutit à Poudlard en voulant travailler avec des sorcier mais sans pouvoir user de magie. Le professeur Dumbledore l’avait donc nommé concierge. Concierge. Ce fut une honte pour Rusard de pratiquer ce métier. Et c’est aussi pour cette raison qu’il était tout le temps de mauvaise humeur. Se vengeant sur les élèves mettant du désordre, salissant, plaisantant devant lui… et tant d’autres choses.
Comme chaque journée, Rusard se levait de mauvaise humeur, circulait dans les couloirs de mauvaises humeur, regardait si des élèves manquaient les cours, ou pire, salissaient. Au bout de 20 salles visitées, Rusard envoya Misteigne au cinquième étage, voyant pour lui. Misteigne était son chat. Ou, plutôt sa chatte. Il l’avait un jour, trouvé sur la route, miaulant de tout ce que ses poumons ne pouvaient le supporter. Il avait pris pitié d’elle, et l’avait ramassé. Depuis ce temps, le concierge et l’animal avaient une sorte de lien mental.
*Miaouuuuuuu*
-Haha, bien joué ma douce, je vais les coincés cette fois, je vais les pendre par les chevilles au plafond des cachots, je vais les fouetter, je vais leur donné tant d’heure de colle qu’ils en auront jusqu’à la fin de l’année, je me demande bien qui ça doit être. Espérons ma douce que ce sera des premières années, ils auront encore plus peur de moi ; ils seront tellement terrorisés qu’ils n’oseront plus faire quoi que soit, c’est très bien ça très bien ….
Pendant qu’il faisait son discours habituel, Rusard s’était mis à courir. Il savait que, dès que les élèves entendaient Misteigne miauler, cela voulait dire que le « *** de concierge » allait rappliquer. Il avait l’habitude maintenant de voir Misteigne sans personne à ses côtés. Et ce fut encore une fois le cas. Rusard eu juste le temps de voir des capes voler au coin du couloir.
-ESPECE DE CHENAPANTS, UN JOUR JE VOUS AURAIS, ET VOUS SOUFFRIREZ COMME JAMAIS VOUS N’AVEZ SOUFFERT !!!
Comme toujours Rusard parlait au vide, enfin, sans compter les tableaux, les murs et sa douce.
Et cette scène ce produisait environs six fois par jour.